dimanche 23 juillet 2017

La Mâture : Tyrolienne

Ou… qu’est ce que je fais là ? Partie 2.


Depuis la tyrolienne installée à Ansabère (voir le reportage ici), on avait qu’une envie, recommencer. Il fallait juste trouver un nouveau spot, sympa et si possible grandiose. Comme une évidence, nous pensons à la Mâture. On y a tellement grimpé que l’idée de relier les 2 cotés fait son petit chemin.
Aujourd’hui, c’est le grand jour. On va tendre la tyrolienne !!!
L’installation est assez longue mais le gros travail réalisé par Ivan et Lionel au cours de 3 visites préalables a grandement facilité les choses. Ils repartent de leur coté (fort du Pourtalet) pendant que nous, allons coté Mâture.
Pour installer la corde, ou plutôt les cordes, il suffit de, envahir rentrer dans le fort, monter à pied au bout du chemin, rejoindre la vire d’arrivée en rappel, fixer les cordes, descendre en bas du canyon en rappel, traverser le ruisseau, remonter la Major sur quelques longueurs, bifurquer vers « Jonathan », rejoindre le départ, fixer l’autre bout des cordes et les tendre. C’est tout… bref, une broutille.


Les 2 cordes ont traversé le canyon.


Elles approchent.



De notre coté, on installe un rappel et on rejoint la vire de départ, le sens descendant étant du coté Mature vers le coté Fort. C’est avec énergie et émotion que nous tendons les cordes, oui émotion parce qu’après, il va falloir y aller. Nous serons 5 à traverser. Grand moment que de se retrouver là, avec cette ambiance, ce gaz, dans un tel cadre. 

C'est parti.







Et comme on a aimé ça, et bien on va recommencer. Donc c’est partie, avec Lionel, on descend au torrent et on remonte par la « Major ». Victor et Nanouk remontent aussi, et pendant ce temps-là, Ivan traverse dans l’autre sens et en profite pour nous mitrailler, avec son appareil photo biensûr.









La journée fût pleinement réussie, grâce à un super travail d'équipe nous avons pu réaliser la 2ème tyrolienne de notre trilogie...
Ouppssss, j'ai dit un mot de trop ;-)

L'équipe presque au complet

Ah non, c'était celle-là la bonne photo

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